Retrouvez la petite délicatesse du jour qui saura vous envelopper dans son doux écrin de soie. Cliquez sur les titres pour retrouver d'anciennes tendresses.
Après un tubesque From Nowhere, Dan Croll ressort un titre de 2011 et en fait son single. Efficacité pop et raffinement folk font la paire, pour un bien charmant rendez-vous.
Cette chanson représente ce qui se fait de plus classieux et de plus puissant émotionnellement en électronique. Simple et délicat, ce remix du duo français Synapson est le genre de petite perle sur laquelle on aimerait plus souvent tomber.
"Oiseau rare", "plume délicate", "envolées lyriques"... faites tous les jeux de mots moisis que vous voudrez sur Andrew Bird, ce mec est un génie. Nouvelle preuve avec Three White Horses, une douceur plus que sentimentale pour un des artistes préférés de la Besace.
Le cliché de la fin de vacances a rarement été aussi bien représenté que par cette chanson. Clapotis de vagues, piano mélancolique et voix électronique pour une petite douceur qui remue le couteau dans la plaie.
Malgré quelques fulgurances, la discographie assez harassante de Guillemots m'a toujours laissé de marbre. L'escapade solo de l'agréable voix du groupe, Fyfe Dangerfield, leur a visiblement fait le plus grand bien. En tout cas cette délicieuse ouverture de leur dernier album est une petite merveille aérée et majestueuse, qui laisse pantois. Le clip l'accompagnant vaut aussi son pesant d'or. Vous savez ce qui vous reste à faire.
Pote des furibonds Tha Trickaz et frère d'arme de l'un d'entre eux sur le projet Tha New Team, le jeune Senbeï se la joue moins gangsta en proposant un son minimaliste, doux et onirique. Fortement inspiré et imprégné de la culture japonaise, ce morceau caresse vos sens avec une plume. C'est beau, oui.
Que celui qui ne fond pas à l'écoute de cette si jolie voix, à la vue de ce si joli minois, me jette la première pierre. Si en plus vous ne succombez pas à cette caresse musicale accompagnée de son joli vidéo-clip, vous n'avez tout simplement pas de cœur.
La superhype autour du super duo qu'est Cults s'était un peu estompée après quelques mois de silence, mais voilà qu'un nouveau morceau fait irruption. C'est cette fois une belle balade rétro, quelque peu conventionnelle mais bien agréable, portée par la belle voix de Madeline, qui sait se faire puissante.
Délicieusement "vintage", doux et mélancolique, ce morceau illustré par des images du film Vivre pour vivre de 1967 est le compagnon idéal d'un après-midi ensoleillé.
Nique la St Valentin. Donc pas de chanson romantico-cucul pour aujourd'hui, ni de complainte acoustique de lover, encore moins de r'n'b miteux prônant la copulation torride. Non. Aujourd'hui c'est pop lancinante aux rythmes afro, avec ce qu'il faut de nostalgie. Une ode touchante à l'été et à la douce Californie.
Une guitare, une voix, une ambiance. Et voilà un beau morceau ne s'encombrant de rien de superficiel pour créer une atmosphère légère, vaporeuse, voire onirique. Pour se réveiller ou s'endormir en douceur.
Un brin cucul, un poil mélancolique, ce Not a Friend est une petite douceur dream pop qui va tendrement caresser votre tympan et vous mettre du baume au cœur. Le côté Beach Boys est franchement plaisant, et fait de cette petit merveille un rare moment de bien être et de volupté. (DL)
Fermez les yeux. Vous êtes allongé(e) dans l'herbe, près d'un lac, un léger vent vous caresse la peau, de doux rayons de soleil illuminent votre visage apaisé. Ce petit bijou de gaieté qui tâte fréquemment mon tympan depuis novembre 2010 me fait cet effet là. A votre tour !